Je ne sais pas chanter, alors j'écris ! Pas sûr que ce soit mieux.... Vous trouverez ici de tout et de rien, des articles qui vous surprendront, vous intéresseront, peut-être même vous découvrirez des choses que vous ignoriez, et puis d'autres sans aucun intérêt. Il y en a pour tous les goûts, même les plus mauvais...BONNE LECTURE..............Je ne sais pas chanter, alors j'écris ! Pas sûr que ce soit mieux.... Vous trouverez ici de tout et de rien, des articles qui vous surprendront, vous intéresseront, peut-être même vous découvrirez des choses que vous ignoriez, et puis d'autres sans aucun intérêt. Il y en a pour tous les goûts, même les plus mauvais...BONNE LECTURE..............Je ne sais pas chanter, alors j'écris ! Pas sûr que ce soit mieux.... Vous trouverez ici de tout et de rien, des articles qui vous surprendront, vous intéresseront, peut-être même vous découvrirez des choses que vous ignoriez, et puis d'autres sans aucun intérêt. Il y en a pour tous les goûts, même les plus mauvais...BONNE LECTURE..............

vendredi 22 juillet 2016

Et si on chiait aux toilettes du travail, simplement ?

Par ces temps de grande incertitude où chacun se demande de quoi demain sera fait, il n'est pas inutile de desserrer l'étau qui nous oppresse. Et quel meilleur moyen que le rire ? 
Voici un billet trouvé sur le net qui pose une question très intéressante :  et si on chiait aux toilettes du travail, simplement ?

C’est un sujet délicat, presque loufoque, mais une fois traité avec sagesse et pragmatisme, cela pourrait changer votre vie. Je m’adresse ici à ceux que l’idée d’utiliser les toilettes du bureau rebute, ceux pour qui la partie sanitaire de leur logement sera à priori la seule qui trouvera grâce à leurs yeux.
Malheureusement, cette contrainte que l’on s’impose à soi-même a des conséquences, plutôt négatives. Effectivement, dès le moment où un besoin d’évacuation se fait sentir, votre journée de travail s’en trouvera nettement plus rude. Inconsciemment, une partie de votre cerveau sera occupé à contenir cette envie, à faire le nécessaire pour l’oublier … et bien souvent en vain. Et oui, quand on a le cigare au bord des lèvres, il n’y a qu’une solution pour aller mieux.
Vous avez même développé des techniques pour réduire ce besoin et le rendre vivable, techniques pratiquées par beaucoup mais secrètes tout de même. Je vais les dévoiler pour que les non-initiés puissent les appliquer en situation d’urgence : lâcher une petite série de flatulences discrètes, ce qui permet efficacement de réduire la pression que vous sentez. Cela permet de vous donner un sentiment de libération allant de 5 à 15 min, avant que la « douleur » ne revienne. Attention, il faut choisir son moment, son lieu (de préférence dehors), et contrôler la puissance. Une erreur de gestion de la pression est vite arrivée, et les conséquences peuvent être dramatiques (vous voyez ce que nous voulons dire).
Le mieux reste encore de garder l’esprit libre, et de vous libérer quand bon vous semble, quand le besoin de fait ressentir. Mais pourtant non, vous ne le faites pas. Vous vous obstinez à être convaincu que les toilettes du travail, c’est pour la petite commission, et seulement en cas d’extrême urgence, le reste.
Et pourquoi ?
Nous vous voyons venir : ça pue, ce n’est pas hygiénique, les collègues ne sont pas loin … des arguments recevables, il faut bien l’admettre. Nous allons maintenant essayer de vous convaincre de passer le cap. Bien entendu, chaque personne, chaque lieu de travail, chaque population environnante est différente. Si vous êtes chauffeur routier, notre argumentaire n’aura aucune valeur pour vous. Vous êtes employé de bureau ou bien technicien, peu importe, mais vous travaillez sur un lieu fixe, dans un bâtiment.
Notre premier conseil : Identifier les toilettes qui vous conviennent.
Pour la plupart d’entre vous, la société dans laquelle vous travaillez est de taille relativement importante, au minimum 50 employés. Si votre société respecte le code du travail, elle dispose donc d’un WC pour 15 employés, soit 3 au minium. Sachant que ceux-ci ne doivent pas être situés à plus de cent mètres du lieu de travail des employés, il y a des chances que ces WC se trouvent à des endroits différents. Parmi les choix disponibles donc, faites le vôtre. Allez voir lesquels sont les plus propres, les moins fréquentés, le plus loin de la machine à café. Contrôlez également si la quantité de papier est suffisante, et si le confort est tel qu’il y a un dispositif pour les odeurs, vous pourriez en avoir besoin.
Second conseil : Allez-y
C’est le moment de se lancer, ça y est. Vous revenez de pause cigarette et café, l’Eurostar est au bout du tunnel, vous aurez du mal à vous concentrer … c’est maintenant ou jamais. Vos collègues reprennent leur poste de travail, prenez votre téléphone personnel dans votre main (ils penseront que vous allez téléphoner), détachez-vous du groupe, et allez-y d’un pas sûr et décidé. Nous ne nous faisons pas d’inquiétude sur le fait que vous allez bien entendu inspecter la bête avant de vous assoir. Si besoin est (c’est très courant), posez du papier autour de la cuvette. Assurez-vous ensuite que la quantité restante sera suffisante pour ce que vous aurez à faire. C’est bon ? Parfait !
Troisième conseil : Contrôle du niveau sonore
Dans ce genre de situation, nous avons tendance à vouloir rester discret. Malheureusement, nous ne contrôlons pas toujours le bruit que nous pouvons faire. Si quelqu’un entre dans le bloc sanitaire alors que vous êtes sur le trône, paré à tout donner, il va falloir être judicieux. Voici les situations probables :
     -Il est venu se laver les mains. Cela ira vite. Vous pouvez soit attendre qu’il soit parti, ou bien, si la chance est de votre côté, il utilisera un sèche-mains très bruyant qui couvrira aisément le bruit de votre fardeau.
     -Il est venu pour la petite commission. La moins bonne situation. Il vous faudra soit être patient, soit abandonner votre couverture, à vous de voir. Mais s’il fait preuve d’un minimum d’hygiène, il utilisera probablement le sèche-main également.
     -Il est venu pour la même raison que vous. Alors là, aucune gêne à avoir, il a fait le même choix, donc aucun jugement de sa part. Sentez-vous libre de faire ce que vous voulez, vous sortirez probablement avant lui et ne saurez jamais de qui il s’agit. Ne traînez pas pour autant.
Quatrième conseil : Soyez observateur
Essayez de connaitre les habitudes de vos collègues et surtout, les heures de passages du personnel d’entretien. Vous voulez passer au moment où les WC sont à l’apogée de leur propreté ? C’est la solution. Si le personnel d’entretien passe à 10h30, allez fumer votre clope (qui d’après la légende est laxative) à 10h28 pour vous retrouver sur un trône impeccable à 10h33. Vous ne le regretterez pas.
Cinquième et dernier conseil : Soyez respectueux
Et oui, il n’y a rien de plus désagréable que de constater que les toilettes, qui sont à l’instant T la délivrance dont vous avez besoin, sont inutilisables car totalement dégueulasses. La personne avant vous s’est laissé aller et n’a pas complexé sur le fait de laisser sa trace. Ne faites pas la même chose. Jetez un coup d’œil derrière vous, utilisez la brosse si besoin, respectez ce lieu presque sacré dont quelqu’un d’autre aura besoin après vous. Ne le mettez pas dans la merde (oui, choix de mot volontaire, nous savons faire dans la subtilité).
Les pièges à éviter
     -Mettre du papier au fond pour limiter le niveau sonore. Une bonne idée à première vue, mais qui peut s’avérer regrettable si cela en vient à boucher les WC. Le plus gros échec lorsque l’on utilise des toilettes publiques ? Laisser un raz de marée avec une flopée de crocodiles flottant tranquillement.
     -Le téléphone portable, à mettre en silencieux impérativement. Si après avoir poussé bruyamment, votre téléphone personnel se met à sonner, l’anonymat ne sera plus préservé. Pensez-y !
     -La quantité de papier restante, déjà stipulée plus haut, mais très important. C’est la dernière des situations pour laquelle vous souhaitez l’aide de vos collègues.
Bien sûr la première fois vous ne serez pas à l’aise, la seconde fois non plus d’ailleurs. Mais avec l’habitude, vous n’y penserez même plus, vous irez quand vous en aurez besoin et c’est tout. Et ça vous changera la vie. 
Ironiquement, c’est le seul endroit de la société où personne ne viendra vous faire chier.
Si ce billet vous a détendu , voire soulagé, tant mieux, c'était le but...
Portez-vous bien et prenez soin de vous...
Source : http://www.jeramenelepain.com/